Cocos retraités

A la retraite en pension avec une détention abri-parc. Et bien voici une preuve que lorsqu'on veut bien faire les choses, c'est possible.
Abri stabilisé et paillé, nettoyé chaque jour, un quotidien qui demande du temps, mais qui n'est non pas de l'anthropomorphisme, mais simplement le respect du bien-être pour les chevaux. Se retirer au sec pour se mettre à l'abri, se coucher ou se reposer, chaque cheval devrait pouvoir y avoir droit.
Les changements climatiques vont pousser le milieu équin à adapter ses installations en construisant des places en dur ou stabilisées. Plus de sécheresse, des terrains appauvris par bien souvent un surpâturage, et à la mauvaise saison, des pluies diluviennes qui engendreront une boue plus ou moins profonde, selon le nombre de chevaux.
Les coûts liés à ces travaux ne seront plus des dépenses extraordinaires, mais nécessaires.
Il en sera de même que les autorités, notamment les services de l'agriculture ou du territoire, acceptent les modifications de zone pour faire ces travaux, un grand pas pour plus de cohérence avec les lois sur la protection des animaux.